L’ONG internationale de défense des minorités ethniques pointe du doigt le changement climatique qui affecte le mode de vie des populations nomades, alimentant ainsi les conflits avec les populations sédentaires locales.
D’après une étude de l’université d’Oxford, la législation britannique contre les discriminations au logement et sur le marché du travail n’a pas porté ses fruits. Une précédente étude avait également montré que les villes postindustrielles britanniques étaient plus propices au développement d’idées extrémistes.