Il serait désormais très difficile d’entendre un média officiel marocain traité Al Sissi de «leader des putschistes». La page semble tournée. Le Maroc par la voix de son ministère des Affaires étrangères appuit «la révolution du 30 juin 2013». Celle qui avait permis la destitution de l’ancien président Mohamed Morsi en échange d’un soutien du Caire à son
Une nouvelle date est annoncée pour la visite du chef de la diplomatie égyptienne au royaume. Un déplacement qui devrait apaiser les relations entre les deux pays en vue de retrouver non pas l’embellie des années Sadat ou Moubarak mais au moins le niveau prévalant avant que Al Sissi ne soit qualifié de «leaders des putschistes» par un média officiel marocain.
Le roi Mohammed VI se déplacera-t-il le 18 février aux Etats-Unis en vue de prendre part aux travaux du sommet mondial contre le terrorisme ? En cas d’absence du souverain, le choix d’Abdelilah Benkirane est à écarter à cause de la présence d’Israël. Restera alors l’option Salaheddine Mezouar.
La coalition de gauche qui gouverne la région de l’Andalousie en Espagne risque d'imploser. La raison, les divisions sur l’opportunité du voyage du n°2 de la région à Tindouf. Détails.
Le Maroc a raté une occasion de marquer sa condamnation du terrorisme. Il a séché la marche de Paris de ce dimanche. Des considérations d’ordre religieux sont à l’origine de cette absence. Et pourtant d'autres dirigeants de pays musulmans tels que le roi de Jordanie, le chef de l'Autorité palestinienne ou les premiers ministres turc et tunisien n'ont pas hésité à battre le pavé parisien.
Le ministre de la Communication est revenu sur la crise maroco-égyptienne. Le ministre, lisant un texte minutieusement préparé, a insisté sur les liens unissant les deux peuples. Un discours qui n’est pas sans rappeler celui consacré aux relations avec l’Algérie. Durant son intervention, El Khalfi a évité de qualifier Al Sissi de président de la république.
L’accueil réservée hier, au Maroc, à Elisabeth Guigou, native de Marrakech et présidente de la Commission des Affaires étrangères à l’Assemblée française, montre que du côté marocain les choses commencent à évoluer.