Cette année, l’Aïd el Kébir tombe en pleines vacances scolaires au Maroc. L’occasion pour certains Marocains de joindre l’utile à l’agréable et de prendre quelques jours de vacances ou voire même s’envoler vers l’étranger pour fêter l’Aïd El Kébir autrement. Un phénomène qui grandit d’année en année et qui fait les choux gras de certains hôtels et
Aïd Al Adha approche au galop. Une fête religieuse d’abord mais aussi une courroie de transmission de fonds entre la ville et la campagne. Cette année la vente d’animaux destinés au sacrifice générera un chiffre d’affaire de plus de 7,8 milliards de dhs, une aubaine pour les éleveurs et les agriculteurs.
Depuis trois semaines maintenant, pas une seule goutte de pluie ne tombe au Maroc. Cette situation commence à inquiéter non seulement les agriculteurs mais aussi les producteurs de moutons qui n’arrêtent plus de scruter le ciel. Faut-il vraiment s’inquiéter de ce retard de précipitations ? Les explications avec Yassine Jamali, agriculteur.
LʼAïd Al Adha, c'est une fête familiale, mais aussi un espace de quelques jours dans lequel se concentre une part impressionnante des dépenses annuelles des Marocains.
Chaque année à lʼapproche de lʼAïd El Adha revient lʼéternel casse tête pour les chefs de famille marocains : Comment rassembler la somme nécessaire à lʼachat du mouton ? Pas tous peuvent compter sur leur épargne - ce qui fait la fête aux sociétés de crédit au Maroc. A l'approche de l'Aïd, les affiches publicitaires en témoignent. Le motif du mouton revient souvent.