Après 10 mois de travail dans des conditions difficiles, la Chambre des conseillers a décidé de dissoudre la commission d’enquête parlementaire sur Jerada. Un mécanisme qui voulait déterrer un délicat dossier, vieux de 21 ans.
Alors qu’elles ne sont que 14 femmes conseillères à la Chambre haute, aucune d’entre-elles n’a été élue au bureau ou à la tête des commissions parlementaire. Un coup dur pour la parité tant voulue par les mouvements féministes au Maroc.