Près de 3 ans et demi après son extradition vers le Maroc, Ali Aarrass peut enfin espérer voir ses revendications entendues. Le département de Mustapha Ramid vient d’annoncer l’ouverture d’une enquête sur les accusations de torture qu’affirme avoir subie le Belgo-Marocain, qui purge actuellement une peine de douze ans de prison au Maroc pour faits de terrorisme. Une annonce qui intervient après la publication d’un rapport
Deux jours après la publication d’un rapport d’Amnesty International sur la torture au Maroc, l’exécutif se devait de réagir, d’abord par une déclaration improvisée de son chef, Abdelilah Benkirane, puis par une déclaration du gouvernement, bien rédigée et qui a évité d’envenimer davantage les relations déjà tendues avec des ONG du calibre d’AI ou Human Rights Watch. Plus
En dépit d’un arsenal juridique très fort interdisant la torture, dans les faits sa pratique est toujours en vigueur au Maroc. Selon le constat d’un nouveau rapport d’Amnesty, elle aurait même tendance à se généraliser et ses victimes sont d’origines diverses.
Les détenus franco-marocains emprisonnés au Maroc ne sont plus transférés en France en raison de la suspension des accords de coopération judiciaires entre les deux pays. Ils envisagent de recourir à la grève de la faim pour être entendus. Parmi eux, plusieurs se disent victimes de tortures.
Un ressortissant marocain en Itlaie vient d'être condamné, ce jeudi 24 avril, à un an et demi de prison avec sursis pour avoir attaché et torturé sa femme italienne et sa fille afin de «les persuader de se convertir à l'Islam». Détails.
Mohamed El Fizazi n’en finit pas de donner un coup de balai à ses vielles convictions. Cette fois, il n’a pas tari d’éloges sur le travail effectué par la DGST. Il y a quelques jours, il prenait même la défense de Hammouchi.
Une sexagénaire a été séquestrée et torturée par son frère pendant 30 ans près de la ville d'Essaouira, au Maroc. Détails.
Le Maroc riposte aux plaintes déposées, il y a presque un mois en France, contre le patron de la DGST, Abdellatif Hammouchi, en saisissant à son tour la justice française. Une initiative qui s’inscrit dans le sillage de la plainte contre le quotidien espagnol El Pais pour avoir diffusé une vidéo d’AQMI sur le Maroc.
Zakaria Moumni veut la vérité au sujet de sa condamnation et des tortures qu’il aurait subies en prison. L’ancien champion du monde de boxe thaïe qui avait été gracié en février 2012 en appelle au roi Mohammed VI pour faire la lumière sur toute cette affaire. Le pugiliste a même menacé de renoncer à sa nationalité marocaine arguant qu’il ne se considère pas comme un «sujet» et
En prévision de l’examen, en avril, de la question du Sahara occidental par les membres du conseil de sécurité de l’ONU, le Maroc soigne son dossier des droits de l’homme. Le gouvernement Benkirane a promis de répondre dans un délai de trois mois aux plaintes des victimes de violation des droits de l’Homme, notamment au Sahara. En mai prochain le royaume sera appelé, une nouvelle fois, à passer par l’épreuve