C’est un classique de la politique marocaine. A chaque élimination des Lions de l’Atlas d’une édition de la Coupe africaine des nations, les partis de l'opposition se saisissent de cet échec pour fustiger la mauvaise gouvernance du football national. Cette année, une différence de taille : le président de la Fédération de football est également ministre au sein du gouvernement Akhannouch.