Les choses semblent rentrer peu à peu dans l’ordre pour les chibanis Marocains et Algériens expulsés d’un hôtel parisien, du moins pour certains. Le consul du Maroc à Paris affirme avoir pris en main le dossier des ressortissants du royaume et les relogements définitifs ont commencé. Cependant, certains subissent encore de mauvaises surprises.
La semaine dernière, une délégation composée de Marocains résidant en Europe a pu assister à la cérémonie de clôture de la Commission du dialogue national et sur la société civile et les nouvelles prérogatives constitutionnelles. Celle-ci en a profité pour rappeler au gouvernement et aux responsables politiques, les revendications des MRE, notamment celles des retraités de France. Yabiladi y
Depuis le 1er janvier 2013, la pension versée aux enfants et veuves des retraités marocains ayant cotisé aux Pays-Bas n’est plus la même. Les autorités néerlandaises ont décidé de réduire le montant de ces allocations de 40%. Une décision que le gouvernement marocain a jugé d’anormale. Explications.
Difficile, la vie que mènent les chibanis. Les services sociaux français les empêchent de profiter sereinement de leur retraite. Ils vivent sous la surveillance de ces services, qui effectuent de fréquentes descentes dans leurs foyers. Ces contrôles, à en croire les immigrés retraités, se poursuivent malgré la levée de boucliers de plusieurs associations. Les dossiers de deux chibanis marocains condamnés en avril dernier
Les MRE âgés d’au moins 60 ans et pouvant justifier d’une résidence à l’étranger d’au moins 10 ans ont le droit d’importer leurs véhicules de plus de 5 ans au Maroc. Cette dérogation intervient 5 mois après la mise en application du nouveau code de la route qui interdisait l’importation de véhicules de plus de 5 ans. Pourtant, certaines limites ont été gardées. La
Mercredi 11 mai, le siège de la Caisse nationale d’assurance vieillesse d’Argenteuil, a été occupé par une quarantaine de militants de l’Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF). Organisé en soutien au retraité marocain El Garouad Belaid qui ne perçoit plus le supplément à sa retraite, depuis 2008, l’objectif de ce rassemblement était aussi de protester contre la politique
3 des 4 prévenus ont été reconnus coupables, jeudi 7 avril, de fraude et fausses déclarations aux organismes sociaux français. Le jugement pourrait faire jurisprudence alors que les chibanis déclarés coupables sont maintenant dans une situation très précaire.
L'affaire CAF vs. retraités marocains entre dans une phase décisive. Jeudi 31 mars à Perpignan, 4 Marocains sont passés devant le tribunal correctionnel pour fraude et fausses déclarations. Des allégations intenables, selon les défenseurs de ces chibanis, qui accusent plutôt les organismes sociaux de discrimination. Le jugement est attendu le 7 avril.
Les retraités marocains de Perpignan ne veulent pas abandonner leur combat contre la Caisse d’allocations familiales des Pyrénées-Orientales (P.O). Ils ont saisi par l’intermédiaire d’un avocat perpignanais, Me Abderrahim Chninif, la Haute autorité de lutte contre les discriminations (Halde).