Les détenus du Hirak constituent la pierre d'achoppement entre le Maroc et Amnesty International. Après un communiqué de l'ONG, la Direction des prisons a répliqué en pointant la focalisation sur certains détenus et pas les autres.
A l'affut d'informations dénigrant le pays voisin, la MAP et l’APS ont repris leur guerre cette semaine en reprenant un appel d’Amnesty International pour libérer les prisonniers d'opinion en ces temps de pandémie du nouveau coronavirus.