L’Association démocratique des femmes du Maroc (ADFM) a levé plusieurs recommandations pour une loi des finances orientée vers la mise en œuvre d’une égalité transversale, de la fiscalité aux secteurs sociaux et professionnels.
Revêtant des dimensions juridiques, sociales et économiques majeures, la révision du Code de la famille a été le sujet, ce mardi à Rabat, d’une table ronde initiée par la Coordination féministe pour la réforme globale et profonde de ce texte. Allant de pair avec le plaidoyer que ce tissu de plus de 30 ONG organise auprès des élus, le mouvement syndical insiste sur la dimension transversale de
Forte désormais de plus de 30 associations et organisations de la société civile, la Coordination féministe pour la réforme globale et profonde du Code de la famille interpelle les parlementaire sur le rôle qui leur incombe, avec l’année législative qui s’ouvre dans deux jours. Pour la structure, le processus en cours doit découler sur un cadre juridique égalitaire, harmonisé avec les principes
Un nouveau rapport classe le Maroc au 84e rang sur 139 pays en matière d’égalité, soulignant les progrès réalisés du pays, mais aussi les défis persistants en matière d’autonomisation des femmes au niveau national.
Des dispositions du mariage au droit successoral, en passant par le droit des enfants et le divorce, une publication du Policy centrer for the south met en avant les points clés du Code de la famille qui méritent réforme. Ce research paper met l’accent sur l’harmonisation avec les principes constitutionnels, universels et jurisprudentiels théologiques, y compris pour un régime de parité dans l’héritage, fondé sur