Des dispositions du mariage au droit successoral, en passant par le droit des enfants et le divorce, une publication du Policy centrer for the south met en avant les points clés du Code de la famille qui méritent réforme. Ce research paper met l’accent sur l’harmonisation avec les principes constitutionnels, universels et jurisprudentiels théologiques, y compris pour un régime de parité dans l’héritage, fondé sur
Alors que la commission royale chargée de la révision du Code de la famille a commencé ses travaux, le roi Mohammed VI a, depuis le siège du Parlement, adressé des messages indirects aux parties concernées sur le cadre dans lequel ce grand chantier doit s’opérer.
Dans sa contribution au débat sur la réforme du Code de la famille, conformément à la récente lettre royale adressée au gouvenrement pour accélérer ce chantier, l’ADFM a soumis des propositions axées particulièrement sur la non-discrimination. Elle insiste notamment sur une harmonisation avec les principes constitutionnels, mais aussi les dispositions internationales auxquelles le Maroc a adhéré.
Au classement du rapport sur l’écart entre les genres, publié chaque année par le Forum économique mondial, le Maroc a occupé la 136e place parmi 146 pays. Il fait ainsi partie des dix derniers pays à avoir le plus de retard à rattraper, particulièrement du fait de l’écart entre les dispositions égalitaires de son arsenal juridique et leur mise en œuvre effective et transversale.