Vendredi 11 Mai, Mouad Belghouat, alias «El 7a9ed», a été finalement condamné à un an de prison ferme pour «insultes à l’égard des autorités» et «outrage à un corps constitué». Le rappeur paie ainsi au prix fort la rançon de son impudence : celle de s’en être pris ouvertement aux autorités en publiant une vidéo parodique et dénonciatrice,
Bonne nouvelle pour les militants ayant appelé au boycott des dernières élections : HRW (Human rights watch) incite le Maroc à abandonner les poursuites annoncées récemment à leur égard.
La police et la gendarmerie française procéderaient fréquemment à des contrôles d’identité non justifiés visant des noirs et arabes qui vivent dans des quartiers défavorisés. Dans un rapport paru hier jeudi, l'ONG Human Rights Watch (HRW) critique la législation française «humiliante» en matière de contrôle d'identité. Elle demande expressément au gouvernement d’adopter
En 2010, «la situation des droits humains au Maroc et au Sahara occidental était mitigé, voire médiocre à certains égards», constatait Human Rights Watch (HRW) dans son rapport 2011. Dans celui de 2012, l’organisation internationale parle d’un «bilan décidément mitigé» et invite le Maroc à mettre en œuvre les dispositions de la nouvelle constitution.
L’affaire Nini refait surface. Human Rights Watch (HRW) demande sa libération. Dans un communiqué publié aujourd’hui, l’ONG internationale condamne les lois qui criminalisent la diffamation envers les agents de l’état, ainsi que celle d’ «outrage» d’un fonctionnaire qui entravent la liberté d’expression.
L'Organisation marocaine des droits humains (OMDH) s’est mise d’accord avec d’autres organisations non gouvernementales, pour étudier et analyser les événements survenus dernièrement au camp Agdaym Izik et dans la ville Laâyoune. En attendant les conclusions de cette démarche conjointe, l’OMDH qui a tenté de faire le point sur ces événements tragiques, a rendu public une synthèse d’un rapport,
Selon un rapport de l’ONG Human rights watch (HRW) publié ce lundi, la loi antiterroriste adoptée par le Maroc quelques jours après les attentats meurtriers du 16 mai 2003 à Casablanca donnerait lieu à de nombreux abus. Les tortures, mauvais traitements, arrestations arbitraires entre autres, seraient ainsi régulièrement pratiquées sur les personnes arrêtées dans le cadre de cette loi. Le gouvernement sommé de