Le gouvernement marocain et Amnesty International se sont rencontrés mercredi à Londres. Une réunion tant attendue par l’ONG internationale pour «dissiper le malentendu».
Des eurodéputés proches du Polisario se saisissent de l’escalade entre le Maroc et HRW pour rappeler à l’Union européenne que le Maroc n’accompli pas ses engagements internationaux en respectant les droits de l’Homme. Rabat vient d'offrir un cadeau à ses opposants au sein du Parlement européen.
Human Rights Watch s'en prend au gouvernement marocain et principalement au ministre de la justice, Mustapha Ramid, pour la dépénalisation de l’homosexualité. L’ONG fustige les déclarations qu’elle juge «homophobes» de Ramid dans les médias marocains après l’épisode du lynchage de Fès.
Alors que le Maroc se prépare à accueillir le prochain Forum mondial des droits de l’Homme (27 au 30 novembre à Marrakech), l’organisation internationale Human Rights Watch vient de fustiger le royaume pour l’interdiction de plusieurs activités des associations œuvrant dans le domaine. HRW estime que ces interdictions ont un rapport avec le discours du ministre de l’Intérieur Mohamed Hassad, qui accusait en juillet dernier
Mercredi, six militants du Mouvement du 20 février, dont cinq sont détenus depuis le mois de juillet à la prison d’Oukacha, à Casablanca, ont vu leurs peines réduites en appel. Ils avaient tous été condamnés en septembre dernier pour des «violences à l'encontre des forces de l'ordre».
Le 4 octobre 2012, les autorités marocaines annonçaient avoir retiré l’accréditation presse à un journaliste marocain de l’AFP, Omar Brouksy. Aujourd’hui, l’association Human Rights Watch réclame au gouvernement marocain de la lui rendre, dénonçant «une sanction lourde» et «injustifiée» à son égard.
Le 12 septembre dernier, six militants du Mouvement du 20 février ont été condamnés à des peines allant jusqu’à 10 mois de prison ferme pour participation à un rassemblement non-autorisé et coups et blessures sur des agents de police. Aujourd’hui, Human Rights Watch déplore un procès «qui pourrait se révéler inéquitable».
L’Association marocaine pour la protection de l'enfance et l'éveil de la conscience de la famille, dont le siège est à Paris, vient de déposer plainte contre le président syrien Bachar Al-Assad. Elle l’accuse d’avoir commis des actes de torture et de barbarie contre des enfants syriens.
La 11ème édition du festival Mawazine, Rythmes du Monde, a pris fin le week-end dernier au terme d'un marathon musical de neuf jours durant lesquels se sont succédées de nombreuses têtes d’affiches internationales. Bien qu'il ait été une nouvelle fois couronné de succès, le festival n'en a pas moins été entaché par le contexte dans lequel il prenait place cette année. La presse internationale