Maher Ben Aissa, vice-président de la Chambre nationale des sociétés de commerce international, rejette la décision des autorités marocaines de révision partielle de l’accord de libre-échange avec son pays, estimant que le déficit commercial en faveur de la Tunisie n’est pas important.
Malgré l’ouverture du Maroc sur le marché international notamment par le biais des accords de libre-échange, le royaume ne parvient toujours pas à accélérer les créations d'emplois et augmenter le niveau de qualification. Pour y parvenir, trois chercheurs suggèrent, entre autres, d’«infléchir les accords de libre-échange déjà conclus dans le sens d’accords de
Dans le cadre du PLF 2021, le Maroc prévoit des augmentations des droits de douanes sur certains produits afin de protéger sa production nationale. Le royaume dispose-t-il des moyens pour se faire ?
Le PJD a fini par se départir de sa réserve pour prendre ouvertement la défense de l’accord de libre-échange avec le «grand frère» turc en ouvrant un front contre les déclarations du ministre Moulay Hafid Elalamy.
Cet après-midi à la Chambre des représentants, le ministre Moulay Hafid Elalamy a donné en détail les raisons économiques ayant poussé le Maroc à demander la révision de l’ALE avec la Turquie alors que ceux avec l’UE et les Etats-Unis enregistrent également des déficits.