Le projet de loi de finances 2014 s’annonce sous le signe de la rigueur budgétaire : pas d’exonérations fiscales, pas d’embauches pour remplacer les postes vacants à cause de décès ou de départ à la retraite, report des décisions de promotions à 2015 et les emplois dans la fonction publique seront réduit au maximum juste pour combler les besoins réels, les plus urgents.
Aujourd’hui, afin de sortir, je ne dirai pas d’une crise, mais d’une situation économique et financière assez difficile, tous les gouvernements du monde sont divisés en deux catégories, ceux qui prônent pour une politique néo-classique basée sur l’austérité et d’autres pour une politique keynésienne qui relance l’économie par la croissance. Sauf pour le Maroc qui ne s’est
Le projet de loi de finance 2013 vient de franchir le cap de la Chambre des représentants. Encore une fois, nombreux sont les députés qui ont boudé la séance du vote. Aujourd’hui, le budget sera présenté aux conseillers. Un passage périlleux pour le gouvernement Benkirane. A la 2ième Chambre, il n’a pas la majorité. Le projet de loi de finances 2013 vient de franchir le cap de la Chambre des
Après la manifestation du dimanche à Rabat réclamant la réduction du budget royal, un député du PJD brise le silence et appelle à une discussion saine et dans le respect de l’institution de la monarchie des sommes alloués à la royauté au titre de l’exercice 2013. Une première au Maroc.
Le gouvernement se dévoile et reconnait la crise. Les caisses sont presque dans le rouge. La solution : davantage d’impôts sur les cliniques privées, l’enseignement privé et les carrières de sables et de pierres. C’est du moins ce que propose le ministre des Finances, Nizar Baraka, mais pour 2014.
Pendant plus de 70 jours, le projet de loi de finances de 2013 sera examiné par les deux chambres du parlement. Un budget calculé sur un baril de pétrole estimé à 105 dollars et ambitionne de maintenir les réserves en devises à 4 mois.
L’impôt sur la fortune ne figure pas sur la loi de finance 2012, adoptée, le vendredi 10 mai, par la Chambre des conseillers. Un vote que conteste, d’ailleurs, la FDT. Le syndicat, très proche de l’USFP, compte solliciter l’avis de la Cour constitutionnelle.
Sans grand surprise, la Chambre des représentants a adopté, hier, la première partie du projet de loi de finances 2012, consacrée aux recettes par 138 députés qui se sont prononcés pour, 36 contre et 12 se sont abstenus.
A quelques jours de la célébration des 100 jours de l’équipe Benkirane, une nouvelle polémique vient de naitre. Elle concerne cette fois les prévisions de la croissance économique de 2012. Ses protagonistes : le wali de Bank Al Maghrib et une partie du gouvernement.
Le gouvernement envisage d’encourager davantage, l’ouverture à l'international des entreprises marocaines, notamment vers les pays africains. Certaines mesures ont été incluses dans le projet de loi de finances 2011 pour promouvoir les investissements marocains à l’étranger, selon le ministre de l’Economie et des Finances, Salaheddine Mezouar.