Abdelghani Jabbar, journaliste et rédacteur en chef du JT du soir d’Al Aoula, vient de remettre sa démission. Originaire de la région de Guelmim, fortement touchée par les crues dues aux intempéries, il estime que la chaine de télévision publique n’a pas correctement couvert les événements.
Le coût financier des intempéries devra largement dépasser celui des inondations de 2009 dans la région du Gharb. Aziz Rebbah estime que l’ouverture des routes, juste pour assurer un retour à la normale, celle qui prévalait avant le 18 novembre, devrait nécessiter 1 milliard de dh.
La programmation d’une soirée de «Chikhates» en plein drame des inondations a offert à Mustapha El Khalfi l’occasion d'épingler 2M. Il a envoyé une lettre au PDG de 2M ainsi qu'une autre à celui de la SNRT.
Les intempéries qui se sont abattues ces derniers jours sur le Maroc laissent d’importantes séquelles. A Agadir, même si le bilan ne fait état d’aucune perte en vie humaine, les dégâts matériels sont considérables. Selon le maire de la ville, le changement climatique n’est pas le seul coupable. Explications.
Bouizakarne, Tan Tan et dans une moindre mesure Sidi Ifni ont connu des formes de protestations des victimes des inondations. Un phénomène appelé à s’amplifier, notamment avec la hausse des prix de produis de première nécessité.
Les inondations des dernières vingt-quatre heures ont couté la vie à six Marocains, dont cinq enfants. Sur instructions du roi Mohammed VI, le ministre de l’Intérieur est attendu, samedi, dans les régions sinistrées. Comme lors de l’effondrement d’immeubles au quartier Bourgogne à Casablanca, le gouvernement est resté suspendu à une décision royale.