A la tête d’un cabinet d’architecture d’intérieur opérant aux Pays-Bas et spécialisé dans le design biophilique, le Néerlando-marocain Hakim El Amrani souhaite introduire ce concept et celui de villes biophiliques au Maroc et voir les designers du pays travailler avec des matériaux naturels et écologiques.
La tour Hassan est l’un des monuments les plus emblématiques de la ville de Rabat. C’est un passage obligé pour tous les touristes qui souhaitent s’immerger dans l’histoire de la dynastie Almohade au Maroc. Un petit retour en arrière sur l’histoire du minaret inachevé dans l’article Nomad de la semaine.
En 1929, l’architecte et journaliste allemand Herman Sorgël a défendu le projet fou de créer un supercontinent pour le maintien de la paix. Sa solution technologique a proposé de vider la mer Méditerranée en créant de gros barrages, pour réunir l’Afrique et l’Europe.
Docteure en aménagement à Paris I Sorbonne, chercheuse au laboratoire Architecture histoire technique territoire patrimoine (AHTTEP) et enseignante à l’Ecole nationale supérieure d’architecture (ENSA) de Paris-La Villette, Nadya Rouizem Labied a publié, le 4 avril, son ouvrage «Réinventer la terre crue. Expérimentations au Maroc depuis 1960» (éd. Recherches). Issu de sa thèse de doctorat, appuyé par la
La céramique et les bâtiments centenaires qui font la beauté de plusieurs villes siciliennes symbolisent communément la cohabitation byzantine, arabe, puis arabo-normande, dans une région italienne qui a fortement été influencée par les dynasties arabo-musulmanes durant près de deux siècles.
L’architecte marocain Elie Azagury est un pilier du bâtiment moderne. Dans la seconde moitié du siècle dernier, il a posé les fondations de techniques de construction qui ont fait sa marque de fabrique à Casablanca, Mohammedia, Tanger ou Agadir.
Parmi les 2 000 unités représentant les courants architecturaux de Casablanca, une grande partie a besoin de réfection. Pas facile en l’absence de subvention étatique et de mesures incitatives.