Même si le ministère marocain des Affaires étrangères a demandé aux parlementaires de dépêcher une délégation en Suède, les élus ne semblent guère pressés pour effectuer le déplacement. Entre temps, le chef de la diplomatie de Stockholm déclare que son gouvernement s’offre du temps avant de se prononcer sur une éventuelle reconnaissance de la «RASD» au profit du
Une Suédoise d’origine marocaine vient d’être élue vice-présidente du conseil municipal de Halmstad, une ville de l’ouest du pays, pour laquelle elle a beaucoup de projets ambitieux. Détails.
En décembre 2012, le parlement suédois avait voté une résolution appelant son gouvernement, de droite à l’époque, à reconnaitre l’autoproclamé «RASD». Aujourd’hui, le département marocain des Affaires étrangères alerte les membres de la Chambre haute des pressions exercées par le Polisario sur l’exécutif suédois. Les séparatistes veulent voir la
La gauche suédoise a remporté les élections législatives du dimanche 14 septembre. Une mauvaise nouvelle pour le Maroc. Et pour cause, c’est cette même gauche qui avait réussi, il y a presque deux ans, à convaincre la majorité des députés à reconnaitre la "RASD".
Il y a presque deux mois, Christopher Ross annonçait le remplacement des réunions informelles par des négociations, toujours, indirectes, mais discrètes entre le Maroc et le Polisario. Janvier 2014, pourrait connaître le coup d’envoi de cette nouvelle stratégie.
L’épineuse question du Sahara crée des tensions entre la direction des fonds de pension publics suédois, AP-Fonden, et deux sociétés étrangères d’exploitation de phosphate implantées au Maroc. Considérées comme des entreprises «non éthiques» par les fonds en raison de l’achat du phosphate extrait au Sahara par une firme marocaine, ces deux sociétés ont été