Dans une moindre mesure, l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) note que le royaume s’inscrit parmi les nombreux pays africains dont les citoyens évoquent l’orientation sexuelle et l’identité de genre pour demander l’asile.
Les acteurs associatifs ont fait savoir leur mécontentement, tandis que le Premier ministre a défendu ce qu’il considère comme le volet humaniste de la politique migratoire du gouvernement.
Déçues, les associations de défense des migrants en France regrettent un durcissement de la législation sur l’asile et l’immigration. Elles dénoncent notamment des mesures dissuasives et bancales. Explications.