En Afrique du sud, le président Ramaphosa a de plus en plus de pression pour opérer une normalisation des relations avec le Maroc. Cette fois, l’appel n’est plus porté par le député Obed Bapela, comme ce fut en octobre, mais par des sections de l’ANC, son parti.
Presque trois mois après la formation du gouvernement d’unité nationale en Afrique du sud, Johannesburg a accueilli des entretiens de haut niveau entre le Maroc et le pays de Ramaphosa.
Après trois semaines de négociations avec ces partenaires, le président Cyril Ramaphosa a annoncé, dimanche soir, la composition d'un «gouvernement d’union nationale». Ce nouvel exécutif marquera-t-il l’amorce d’une inflexion de la politique marocaine suivie par Pretoria, depuis 2004 ?