Le rapport global sur la compétitivité du World Economic Forum (Forum de Davos) vient d’être publié. Le Maroc qui a perdu sept places par rapport au dernier classement se retrouve à la 77ème position au niveau mondial et 5ème en Afrique. L’enseignement, la santé et les institutions, dans une moindre mesure, constituent les points noirs pour le Royaume.
Le mot compétitivité est à la mode dans le discours publi tant en France qu'au Maroc. Mostapha Melgou explique pourquoi ce mot devient progressivement un abus de langage qui cache les difficultés globales de l'économie marocaine.
Le World Economic Forum (WEF) vient de publier son rapport 2012-2013 sur la compétitivité mondiale. Le Maroc s’y classe 70e sur 144 pays, signant ainsi une progression de trois places par rapport à l’an passé. En dépit des lenteurs bureaucratiques, des problèmes d’accès au financement et de la corruption, le Maroc poursuit donc sa lancée en matière de compétitivité. De bons augures
La Banque mondiale vient de publier ce jeudi 4 octobre son rapport sur le climat des affaires dans 183 pays. Le Doing Business donne des indices sur la facilité de créer et de faire prospérer des affaires dans les économies concernées. Le Maroc fait un grand bon en avant en se plaçant 114e contre 128e en 2010 dans un classement dominé pour la cinquième année consécutive par le Singapour.
Le rapport annuel du Forum économique mondial (WEF) sur la compétitivité des pays dans le monde, a été présenté mercredi dernier à Genève. Avec un score de 4.08 (sur 7), le Maroc s’est positionné 75e en 2010. Le Royaume a certes amélioré son score par rapport à 2009, mais pas son classement, vu qu’il perd 2 places.