Avant son arrestation en septembre pour une sombre affaire d’agression, le rappeur Lhaqed était peu connu au Maroc. Après quatre mois de prison ferme, une nouvelle icône d’une certaine jeunesse est née mais cette fois elle s’est radicalisée.
Voici seulement quatre années que les premiers accrochages ont eu lieu à Sidi Ifni (voir article) entre manifestants et force de l’ordre. Hier, malgré le long répit qu’a connu la ville marocaine, un regain de violences a eu lieu.
Expulsée alors qu’elle venait porter plainte pour violences, l’histoire de Najlae, une Marocaine de 19 ans suscite une indignation dans le Loiret. Elle avait fui le Maroc pour éviter un mariage arrangé par son père, et vivait chez son frère à Château-Renard depuis 2005. Najlae a été victime d’une reconduite express le samedi 20 février.
Pour la deuxième année consécutive, l'Association des Marocains aux grandes écoles (AMGE) organise l'Opération Caravane, du 22 au 27 février prochains. La manifestation sillonnera 9 villes du Royaume.
Une semaine culturelle dédiée aux premières femmes maghrébines issues de l'immigration en Belgique débute le 10 février à Bruxelles, apprend-t-on auprès de la MAP. La manifestation intitulée "Mémoire des mères et des grands-mères" a lieu à l'Espace culturel maghrébin "Magh", initiateur du projet.
Ammar Amedjar est marocain emprisonné depuis le 6 février à la maison d'arrêt d'Angers. On lui reproche d'avoir refuser d'abandonner sa famille en France. L'homme doit être expulsé à sa sortie de prison, le samedi 28 février prochain selon un membre du Réseau Education Sans Frontière (RESF).
Le Maroc a décidé hier 25 février de rappeler en consultation pour une semaine son chargé d'affaires à Téhéran selon une source officielle. Cette décision est une protestation contre les « expressions inopportunes » de l'Iran à propos du soutien de Rabat au Bahreïn, selon le portail d'informations « Insidethegulf.com ».
Ces dessins dans un pays où l’extrême droite a fait plus de 13 % des suffrages aux dernières élections législatives et où le débat public sur l’islam est particulièrement radical, ne pouvaient que susciter la polémique. Pour Tøger Seidenfaden, directeur de la rédaction du quotidien danois Politiken, « Il y a volonté d'offenser, car c'est dans la logique présente de l'atmosphère politique au Danemark. La recette à succès, en politique et dans les médias, c'est de dire que