La problématique n’est pas nouvelle, mais faute de coordination administrative entre les pays du pourtour méditerranéen, surtout le Maroc et l’Espagne, des ONG des deux rives s’y attellent. Il s’agit de la difficile identifications des migrants morts en mer ou disparus durant leur traversée vers l’Europe. C’est une ONG espagnole qui a dernièrement consacré son travail à la question.
Poursuivie depuis décembre 2017, l’activiste Helena Maleno est soupçonnée d’être impliquée dans des réseaux d’immigration clandestine. A ce jour, aucune preuve permettant de l’incriminer n’a été présentée. Le Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme dénonce un «harcèlement».