Contacté par Yabiladi pour se prononcer sur l’affaire des femmes marocaines travaillant dans des champs espagnols, Noureddine Benkhalil, à la tête de l’ANAPEC, répond à nos questions tout en insistant sur le contenu de la mise au point rendue publique par le ministère de tutelle. Pour lui, «un cas isolé ne doit pas venir polluer tout un travail (…) [déjà] très difficile». Détails.
Invitée à s’exprimer dans le cadre du Pacte mondial sur les migrations, jeudi dernier, la CGEM s’est dit heureuse de l’ouverture du marché du travail aux immigrés subsahariens.
Quel est l’objectif de l’espace d’information maroco-allemand lancé la semaine dernière par la coopération allemande en partenariat avec l’ANAPEC ? Pour le Maroc, il s’agit d’informer au départ, pour l’Allemagne l’accent est mis sur les retours.
Dans l’optique de renforcer les mesures incitatives à l'embauche des jeunes diplômés, des contrats d’insertion-formation, dits contrats ANAPEC, ont été mis en place. Objectif, réduire partiellement ou totalement les charges sociales de certaines entreprises à l’instar des petites et moyennes entreprises (PME). Détails.
L’ANAPEC a présenté mardi 8 décembre 2015 son plan de développement pour 2020. Toujours axé sur les chômeurs diplômés son action peine à prendre en compte les personnes inactives et les chômeurs dont le niveau scolaire est très faible. Ils forment pourtant l’essentiel de la population exclue du marché du travail.
En 2015, la politique migratoire marocaine a disparu des écrans de l’actualité à l’exception des deux opérations répressives dans le nord. Le ministère des MRE et des Affaires de la migration a pourtant entamé la réalisation de la Stratégie nationale de l’Immigration et de l’asile. Au bilan, réalisations modestes et défaut de communication.