Les télés officielles marocaines peinent à couvrir les informations sur les violations des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf en images ou en photos. Un obstacle que Medi1TV a pu dépasser par le recours à des images d'archives et quelques photos de grafitis, le tout présenté comme une exclusivité. Décryptage.
L’université d’Agadir, réputée pour accueillir le plus grand nombre d’étudiants au Maroc, a connu de nouveaux accrochages entre amazighs et sahraouis. La tension ne risque d’ailleurs pas de s’apaiser pour le moment. Et pour cause, la semaine prochaine débutera le procès de huit jeunes originaire du Sahara.
Des Marocains se battent pour la sauvegarde des manuscrits de Tombouctou, considérés comme une richesse pour les peuples musulmans. Bien que l’achat de ces textes se fasse de manière informelle, un collectionneur estime que c'est la seule manière de les sauver et plaide pour l’ouverture d’un musée au Sahara.
La cité universitaire de Marrakech renoue avec la violence. Un malentendu entre deux étudiantes, une sahraouie et une d’extrême gauche, a dégénéré en heurts au cours desquels des armes blanches, des pierres et des cocktails Molotov ont été utilisés.
Lorsqu'on parle des maladies les plus répandues au Maroc, on pense tout de suite au diabète, à l'obésité ou aux problèmes cardiovasculaires. Les maladies auto-immunes ne figurent pas dans la liste car elles sont quasiment inconnues des Marocains, pourtant elles sont la cause de la plupart de ces maladies et représentent la troisième cause de mortalité.
Au Maroc, certaines propositions mettent du temps avant qu’elles voient le jour. C’est le cas des recommandations de l’IER. Après six ans d’attente, Benkirane vient d’autoriser des Sahraouis victimes de violations des droits de l’Homme à intégrer la fonction publique.
Le nombre de victimes des attroupements à Laâyoune augmente au fil des heures. Et c’est déjà la guerre des chiffres entre les sources officielles du Royaume et celles du Polisario. Même si la tournure des évènements a surpris plus d’un, force est de reconnaitre que les conditions d’un tel dénouement étaient déjà réunies depuis longtemps. Détails.
Les trois activistes sahraouis, Ali Salem Tamek, Brahim Dahane et Hamadi Nassiri, incarcérés à la prison de Salé, ne seront pas poursuvis devant une juridiction militaire. Le tribunal chargé de statuer sur leur cas, s’est déclaré incompétent. Une annonce qui intervient -coïncidence ?- quelques jours après l’arrestation de Mustapha Salma par le Polisario. L’affaire des trois activistes devrait être