Victimes présumées d’agressions sexuelles, les dix saisonnières marocaines sont confrontées à un nouveau problème : leurs familles.
Beaucoup d’encre a coulé depuis l’éclatement de l’affaire Huelva Gate en mai dernier. Cette année, et à quelques semaines du départ de la première vague de saisonnières, l’ANAPEC en charge du programme du côté marocain semble vouloir rectifier les erreurs du passé, bien qu’elle soit déjà pointée du doigt par quelques syndicats et associations au Maroc et en Espagne.