Les moyens mis à disposition pour la surveillance de l’air sont jugés très insuffisants par les acteurs de la société civile. La population n’est ni informée ni suffisamment sensibilisée, sur ce fléau.
La capitale économique est plongée dans un brouillard de particules polluantes, notamment les PM10 et les oxydes d'azote. Tandis que les quartiers périphériques sont particulièrement touchés par la pollution industrielle, les pots d’échappement des véhicules font rage dans le centre-ville.
L’agence onusienne s’inquiète des taux de concentration de particules fines en suspension dans plusieurs villes du royaume. Une situation qui impacte à la fois la santé des citoyens comme les caisses de l’Etat.