La révision des lois de l’héritage semble recueillir de plus en plus de soutien. Après les propos de Mohamed Sebbar, secrétaire général du CNDH, Abdelouahab Rafiki, alias Abou Hafs, est monté au créneau pour défendre ce que le Conseil supérieur des oulémas avait pourtant refusé il y a huit ans. Détails.