A quand l’organisation d’une troisième «table ronde de Genève» ? Si le Maroc demande d’abord que les choses se stabilisent en Algérie avant d’accepter de reprendre le chemin vers la ville suisse, les Etats-Unis estiment, eux aussi, qu’«il reste beaucoup de chemin à parcourir pour la reprise des pourparlers».
Même si le ministre des Affaires étrangères a nié tout lien entre la rupture avec l'Iran et le contexte international, il y a de fortes chances que la décision pourrait booster la cote du royaume auprès de ses partenaires étrangers, à commencer par les Etats-Unis où des faucons anti-Iran occupent les postes clés au sein de l'administration Trump.