Une centaine de jeunes garçons marocains se trouveraient actuellement dans la capitale française. L’association «Hors la Rue», qui vient en aide aux mineurs étrangers en détresse, a établi un premier contact avec eux.
Ouverte dans une ancienne caserne, la grande salle de prière de Barbès devait apporter une solution aux prières de rue dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Cependant, les querelles entre les responsables des associations représentées, et une double équation financière et légale difficile à résoudre, font à nouveau planer le spectre des prières en plein air.