Il y a près de dix ans, l’expropriation des terres collectives sans rembourser les femmes était monnaie courante. Mais cette situation a changé, depuis que les soulaliyates, victimes de cette inégalité basée sur un droit coutumier, se sont organisées pour faire avancer le débat et les pratiques.
Les femmes des tribus qui possèdent des terres collectives se battent depuis dix ans pour obtenir les mêmes droits que les hommes. Malgré la circulaire de 2009 qui consacre leur droit sur les terres, elles sont encore souvent exclues du bénéfice de leurs ventes.