Révélées dimanche sur les réseaux sociaux, les boucles de discussion d’un groupe néonazi ont été épinglées pour leurs contenus racistes et appels à la violence. Lundi, le ministre de l’Intérieur français a ordonné leur fermeture. Connus des services de renseignements, les profils membres prévoyaient notamment des attentats dans les mosquées en France.