Les inégalités et les violations des droits humaines visant les Marocaines travaillant à Ceuta sont nombreuses. Un récent rapport se penche sur celles qui gangrènent le travail domestique, pour lequel ces femmes-là traversent quotidiennement le poste-frontière.
C’est un petit pas, car le calvaire que subissent les femmes porteuses de marchandises dans les enclaves espagnoles reste sans fin. Une nouvelle loi relative à leur activité sera appliquée début avril. Elle suscite déjà des avis mitigés.
Un compte-rendu de l’Association pour les droits de l’homme de l'Andalousie (APDHA) dévoile des faits marquants sur les transfrontaliers marocains qui travaillent à Ceuta, notamment sur leurs conditions de travail et leurs salaires. Détails.