Bien que le Maroc n’en soit pas un grand producteur, les hydrocarbures restent un domaine stratégique pour le Royaume. Depuis le début des années 2000, l’Etat n’a cessé de multiplier les efforts visant à favoriser l’exploration tant pétrolière que gazière. Il y trois ans, Rabat s’est lancé dans les gaz de schistes dont l’exploration, bien que discrète, fâche le milieu des
Les 42,5 milliards de dirhams de dette qui accablent la Samir aujourd’hui ne sont pas apparus soudainement en 2015. Raison d’Etat, connivence, manque de placements financiers, aveuglement, erreur de gestion, chantage, privatisation ratée ont abouti au désastre actuel.
Depuis les avertissements de Moody’s en 2014, l’agence de notation ne s’était plus exprimé au sujet de l’économie marocaine. Dans un rapport fraichement publié, elle salue les réformes de la caisse de compensation, estimant que les faibles prix du pétrole et le plan solaire sont des atouts pour le gouvernement.
Daesh n’est plus en mesure de rétribuer gracieusement ses combattants. L’organisation vient d’opérer une cure d’austérité budgétaire en réduisant de moitié les salaires de ses troupes, leur laissant seulement 100 dollars par mois.
Le gouvernement Benkirane amorce actuellement la dernière ligne droite de son mandat. A neuf mois des élections législatives, plusieurs dossiers notamment économiques seront au menu de l’équipe gouvernementale. Leur gestion influera-t-elle sur la campagne électorale ?