Aïcha Bent Abi Ziane, Mamat Al Farkhania, Aïcha Al Ouarghalia, Haddhoum Bent Al Hassan, Itto Ou Hammou Zayani, Aïcha Al Amrania, Daouya Al Kahli, les femmes d’Ait Atta, ou encore les Zemmouriyates. Autant de femmes ayant joué un rôle crucial dans la résistance menée contre les forces coloniales. Selon la chercheuse Assia Benadada, plusieurs noms de femmes avaient été volontairement écartés de l’histoire officielle
Durant le XIXe siècle, le Maroc a connu l’introduction du journalisme à travers l’armée espagnole, déployée dans le nord du royaume pendant la guerre de Tétouan. Plus tard, un ensemble de journaux locaux hispanophones ont vu le jour.
Le 29 décembre de chaque année, les batailles de Jbel Baddou fêtent leur anniversaire. La date a été choisie par le Haut-commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l'Armée de libération pour «préserver la mémoire nationale». Retour sur les faits marquants de cette bataille menée par les tribus amazighes contre le joug de la colonisation.
En 1953 et après avoir été exilé à Madagascar par les forces coloniales, une bande criminelle britannique s’était vu offrir 250 000 livres pour kidnapper le sultan Mohammed Ben Youssef. Le gang avait un meilleur plan mais la tentative avait été démasquée par les autorités françaises.
Dans cette série, Yabiladi fait la lumière sur les organisations secrètes ayant marqué l’histoire du Maroc contemporain. Dans cette quatrième partie, flashback pour rappeler les origines et les opérations du «Croissant noir» fondé dès l’été de 1954, suite au démantèlement de «La Main noire». Une autre organisation secrète faisant partie d’un large groupe
Le 14 juillet 1955, une bombe artisanale fabriquée par trois Casablancais explose devant le café Mers Sultan, situé dans le quartier éponyme, faisant six morts et une trentaine de blessés européens. Les Marocains venaient d’entamer une phase de résistance armée au lendemain de l’exil du sultan Mohammed Ben Youssef. Histoire.
Pendant son séjour au Maroc, la romancière américaine Edith Wharton a été accueillie par le Résident général de la France coloniale, Hubert Lyautey. Un homme qui l’inspire pour son récit «Au Maroc». Dans ce livre, Edith Wharton couvre de louanges le gouvernement français, tout en glorifiant l’impérialisme.
Le 16 mai 1930, les autorités coloniales françaises au Maroc promulguent le Dahir du 17 hija 1348, communément appelé «Dahir berbère». Un décret royal signé par le sultan Mohammed ben Youssef, le futur roi Mohammed V, qui s’intéresse au fonctionnement de la justice dans les tribus de coutume amazighe. C'est aussi le tout premier catalyseur et l’une des étapes centrales du nationalisme marocain. Histoire.
Dans cette série, Yabiladi fera la lumière sur les organisations secrètes qui ont marqué l’histoire du Maroc contemporain. Dans cette septième partie, zoom sur l’histoire «Le réseau de Hoummane El Foutouaki».
Dans cette série, Yabiladi fera la lumière sur les organisations secrètes qui ont marqué l’histoire du Maroc contemporain. Dans cette première partie, zoom sur «La Main Noire», filiale de l’«Organisation secrète» fondée par Mohammed Zerktouni, Hassan Lahraichi et Houcine Berrada.