La décision tant attendue de la Cour d’appel de Douai vient de tomber. Les mineurs marocains ont bel et bien droit à une indemnité de 40 000 euros que leur ex employeur, les Houillères, refuse de leur verser. Ce dernier peut encore se pourvoir en cassation,. Cette démarche n’inquiète toutefois pas l’avocate des mineurs.
Les anciens mineurs marocains des ex-Houillères sont plus que jamais décidés à mener à bout leur combat face à leur ancien employeur dans la bataille juridique qui les oppose. Et ce, quelqu’en soit la décision de la cour d’appel de Douai qui doit rendre son jugement le 31 mars prochain. Pour Abdellah Samate, président de l’association qui les réunit, si le problème tarde à connaître son
Nouvel épisode dans le procès qui oppose des ex-mineurs marocains à l'Association nationale de garantie des droits des mineurs (ANGDM), l’organisme français qui gère les biens de leur ancien employeur, les Houillères. L'ANGDM n'avait pas accepté un premier jugement en sa défaveur et a fait appel. Hier après-midi (mercredi 26 janvier), s’est ouvert le procès à la cour d’appel de Douai, sur la
Moins biens lotis que leurs anciens collègues français et européens, ils se battent depuis des années pour avoir droit aux mêmes avantages. Si les cas de certains ont été réglés, d’autres en revanche devront encore patienter au moins jusqu’en 2011.
Les représentants des mineurs marocains et l'Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs (ANGDM) ont débuté le 29 avril, l’analyse des dossiers de retraités, apprend-t-on de La Voix du Nord. L’objectif est de vérifier si des droits oubliés pourraient être garantis pour ces mineurs.
Des dizaines d’ex-mineurs marocains en France occupent depuis ce mardi matin les locaux de l’Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs (ANGDM) à Noyelles-Sous-Lens (Nord de la France). Leur objectif, revendiquer des droits qui depuis longtemps leur sont refusés.
Abdellah Samate, président de l'Association des mineurs marocains du Nord-Pas-de-Calais (AMMN) et ses collègues voient enfin le bout du tunnel. Le samedi 19 mars, le conseil de prud'hommes de Douai a mis fin au calvaire des anciens mineurs marocains, en condamnant leur ex-employeur, a-t-on appris auprès de La Voix du Nord.
Abdellah Samate, président de l’Association des mineurs et anciens mineurs marocains du Nord-Pas-de-Calais, a été récemment promu au grade de Chevalier de la Légion d'Honneur. Une consécration pour cet homme qui œuvre depuis plus de vingt ans pour la reconnaissance des droits des mineurs maghrébins.