La semaine dernière, le Maroc a été victime de la plus grande fuite de données sensibles dans l'histoire du Maroc, suite à des cyberattaques revendiquées par un groupe de hackers algériens. Cet incident a soulevé de sérieuses questions concernant les politiques de cybersécurité du pays et les stratégies mises en place pour protéger les données personnelles et les institutions publiques.
Une nouvelle salve d’attaques informatiques ravive les tensions entre hackers marocains et algériens. Ce samedi, un groupe de hackers algériens a revendiqué une opération de grande ampleur visant plusieurs sites institutionnels marocains, paralysant certains services en ligne.
En réponse au piratage de la CNSS et du ministère de l’Emploi marocains par le groupe algérien JabaRoot DZ, des hackers marocains ont publié plus de 34 Go de données sensibles provenant du ministère algérien de l’Industrie pharmaceutique. Cette nouvelle attaque marque une escalade inquiétante dans la cyberguerre larvée que se livrent les deux pays, exposant des informations sensibles sur les citoyens des deux pays.
Des spécialistes en cybersécurité ont enquêté, ce mercredi, sur l'origine de la cyberattaque contre la CNSS du Maroc. Initalement attribuée à un groupe de hackers algériens, les premiers éléments suggèrent que c'est un étudiant tunisien en Allemagne qui serait à l'originr du piratage.
Alors que le piratage de la CNSS secoue encore le Maroc, la riposte n’a pas tardé. Dans une opération similaire, un groupe de hackers marocains a infiltré les systèmes de la MGPTT et du ministère du Travail algérien, publiant 13 Go de données sensibles (CIN, ordres de transfert d'argent, documents administratifs...). Cette attaque marque un nouvel épisode dans la guerre numérique silencieuse que se livrent les
Les tensions entre l'Algérie et le Maroc se déplacent sur le terrain de la cyberguerre. Le groupe de hackers algériens JabaRoot DZ a revendiqué une série d’intrusions sans précédent dans les systèmes informatiques de plusieurs institutions marocaines, révélant des fuites massives de données sensibles. Du site du ministère de l’Emploi à la base de données de la CNSS, c’est toute la