Le nouvel an apporte de bonnes nouvelles pour Hakim Benchamach. Visiblement rassuré par les réels tenants du pouvoir au PAM sur son avenir politique aux commandes du Tracteur, le secrétaire général passe, désormais, à l’offensive.
Depuis mercredi, les réactions de membres du RNI se multiplient au lendemain du communiqué du secrétariat général du PJD. Pour l’instant, seul Abdelali Hamidine a choisi de répondre aux RNIstes à sa manière.
Le chef du gouvernement et secrétaire général du PJD, Saâdeddine El Othmani a encore du pain sur la planche. A peine la réconciliation avec le PPS, voilà qu’une crise s’annonce entre la Lampe et le RNI, trouvant son origine dans la récente sortie de Rachid Talbi Alami.
L’annonce de la suppression du secrétariat d'Etat chargé de l’Eau au gouvernement El Othmani a provoqué une crise sans précédent entre le PJD et son principal allié. Mohamed Zineddine et Abdessamad Belkebir nous livrent leurs analyses.
Sur les réseaux sociaux, des messages appellent les Marocains à boycotter les produits américains pour marquer leurs solidarité avec la Turquie. Sur cette crise, le PJD d’El Othmani semble tirer les leçons de son opposition à la destitution du président égyptien Mohamed Morsi, en observant un silence religieux.
Au fil des jours, le PJD s’enfonce davantage dans la crise. Les divisions autour du 3e mandat de Benkirane sont désormais criantes. Le secrétariat général a refusé d’accorder quatre années supplémentaires à l’ancien chef du gouvernement.Mais celui-ci ne s’avoue pas vaincu...
Citant des sources du PJD, l'hebdomadaire Jeune Afrique fait état d’un pacte qui aurait été conclu entre Abdelilah Benkirane et Saâdeddine El Othmani pour apaiser les tensions. Le retour au calme et les travaux du 13e congrès de la Jeunesse du PJD tenu à Fès le confirment.
Les intellectuels marocains multiplient les initiatives autour du Hirak. Après celle de Hassan Tariq, Anass El Hasnawi et Latifa Bouhssini, le politologue et universitaire marocain Abdessamad Belkebir a lui aussi présenté la sienne, la «marche blanche» afin de sortir de la crise. Interview.
Quelle place pour l’art en temps de crise ? C’est l’une des questions soulevées lors d’une récente exposition à Fès. Parmi ses thématiques, la migration, la xénophobie et la violence à travers une vitrine de plus de 14 artistes différents, rassemblés pour faire naître un véritable débat culturel. Détails.