A l’heure où Abbas El Fassi, nouveau Premier ministre du Royaume, s’attache à construire un gouvernement avec les forces politiques en présence (USFP, PPS, RNI, MP), en dehors du PJD qui a été «écarté», car «il est redevenu un parti non fréquentable». Ainsi, le parti de Saad Eddine El Othmani, premier parti en nombre de voix (lors des élections 2007) et deuxième puissance politique du pays (après l’Istiqlal), s’apprête à rejoindre l’opposition jusqu’en 2012.
« C’est un homme fort » voilà ce que répète à l’envie un jeune sarkozyste, « propre sur lui », c’était dimanche au détour d’un marché de banlieue. Ils sont venus narguer le parti communiste à domicile. Les vieux routiers rouges sont désemparés par cette jeunesse décomplexée, qui déroule un discours formaté sans vraiment en maîtriser les conteurs. L’essentiel c’est que la marchandise trouve preneur. Mais qui n’achète pas du Sarko en ce moment ? Chirac, peut
Depuis longtemps les associations nationales de défense des droits de l'Homme réclamaient sa tête. La presse aussi. Ou plutôt une partie d'entre elle. Maintenant c'est chose faite : le tout puissant homme de la direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a "sauté", après de "bons et loyaux" services. Et, (faut-il le rappeler ?) un fabuleux destin scellé par une fulgurante ascension au sein de la Grande muette et des services de renseignements marocains. Jusqu'à ce jour
Pièce de théâtre de l'écrivain Mohamed Razane
Une histoire d'amour entre Moulka, Taoufik, et Amira