Au Maroc, six membres du Mouvement du 20 février viennent d’être condamnés à des peines de prison. Leur crime : avoir participé à une manifestation non-autorisée le 22 juillet dernier, dans le but de dénoncer la détention des prisonniers politiques ainsi que la vie chère au royaume.
L’OMDH et des militants du Mouvement du 20 février sont encore sous le choc. Après avoir été arrêtés le 22 juillet dernier à Sidi Bernoussi pour avoir manifesté dans les rues dénonçant la cherté de la vie, 2 jeunes arrêtés accusent des agents de police de les avoir violés au commissariat.
On les avait presque oubliés à force de ne jamais parler d'eux : les Marocains prisonniers et condamnés à mort en Irak. D’après les chiffres du ministère des Affaires Etrangères, ils seraient actuellement 12 Marocains à attendre dans les couloirs de la mort en Irak. Une situation qui inquiète particulièrement les associations marocaines des droits de l’homme.
L'Organisation marocaine des droits humains (OMDH) s’est mise d’accord avec d’autres organisations non gouvernementales, pour étudier et analyser les événements survenus dernièrement au camp Agdaym Izik et dans la ville Laâyoune. En attendant les conclusions de cette démarche conjointe, l’OMDH qui a tenté de faire le point sur ces événements tragiques, a rendu public une synthèse d’un rapport,
Parti d’un problème d’ordre social, l’affaire du camp de Gdeim Izik près de Laâyoune a pris une sérieuse tournure politique, après la mort d’un jeune Sahraoui lors d’affrontements avec la gendarmerie royale. Les versions s'affrontent, et l'instrumentalisation politique n'est jamais loin. Un petit récapitulatif s'impose, alors qu'une enquête a été annoncée. Entre temps, la situation semble
Des associations et organisations marocaines de défense des droits de l'Homme auraient décidé de se rendre dans les camps de Tindouf, a-t-on appris auprès de la MAP. Objectif, s’enquérir du sort de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, qui n’est toujours pas entré en contact avec sa famille, malgré l’annonce de sa libération le 6 octobre dernier.
Kamel Jendoubi devait être l’invité de marque d’une réunion des défenseurs des droits de l’homme au Maghreb, organisée à Rabat. Il sera retenu dans l’avion qui l’amène de Paris jeudi dernier, devra passer la nuit dans l'appareil pour être refoulé vers la France ce vendredi. Plusieurs associations ont dénoncé la réaction des autorités marocaines qualifiée d'arbitraire,
Des organisations marocaines de défense des droits de l’homme ont appelé mercredi, le ministère des Habous et des Affaires islamiques à «enquêter» sur un imam, qui aurait tenu des propos «insultants» sur la langue amazigh dans une mosquée à Rabat. Le ministère a défendu le présumé imam en démentant les informations véhiculés dans certains journaux.