Si ses rédacteurs ne mâchent pas leurs mots pour critiquer le nouveau modèle du développement, le mémorandum d'ATTAC Maroc propose des «éléments de développement alternatif du point de vue populaire».
Alors que les pays de la région multiplient les programmes visant à relancer leurs économies, fortement impactées par le coronavirus, la Banque africaine de développement (BAD) s’est intéressée aux perspectives économiques de l’Afrique du Nord et du Maroc. Elle évoque plusieurs secteurs qui doivent attirer l’attention des décideurs des six pays de la région.
Selon le Fonds monétaire international (FMI) des Nations unies, le ratio de la dette marocaine a atteint 65,1% du produit intérieur brut du pays. Un ratio qui devrait connaître une lente diminution au cours des cinq prochaines années, souligne-t-on.
La croissance économique devrait ralentir l’an prochain pour s'établir à +2,9%. 2019 sera une année moyenne sous tout rapport.