Les pays arabes, tout comme Israël, commémorent ce 6 octobre le 44e anniversaire du début de la Guerre du Kippour. Durant plusieurs jours, les armées de l’Egypte, de la Syrie et de la Jordanie, soutenues par d’autres armées des pays arabes dont le Maroc, combattaient l’entité sioniste pour se venger de la défaite lors de la Guerre des Six jours. Retour sur l’engagement du Maroc lors de ces affrontements.
Lors d'une «Conférence internationale» qui n'a connu la présence d'aucune délégation officielle sauf celle de l'Algérie, le Front a déploré le manque de solidarité arabe, pointant «l’injustice» des pays arabes visant le «peuple sahraoui».
Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a publié ce lundi son indice du développement humain. Le Maroc, qui figure toujours dans la catégorie des pays à «développement humain moyen», avance à pas de tortue, se plaçant à la 121e place alors qu’il était 123e l’année dernière.
Le Maroc a attiré, l’année dernière, 3,6 milliards de dollars d’investissements directs étrangers, tout en investissant 665 millions de dollars à l’étranger. C’est ce qui ressort du rapport annuel de la Société arabe de garantie des crédits à l'investissement et à l'exportation, basée au Koweït.
Bien que le Maroc n’entretient pas de relations diplomatiques avec l’Etat hébreu, 2 108 Marocains se sont rendus en Israël l’année dernière selon les chiffres rendus publics lundi par l’autorités israélienne de la population et de l’immigration. Un chiffre qui contraste avec la mobilisation et actions des militants anti-normalisation.
En termes de cybersécurité et avec un score de 36,47 points sur 100, le Maroc arrive au 25e rang parmi 60 pays analysés par l’entreprise britannique Comparitech et qui classe, dans son rapport annuel, les pays du moins au plus sécurisé. L’Algérie voisine occupe pour sa part la première place.