Dans une saillie paternaliste truffée d’approximations et creuse en analyse psychosociale, un article d’opinion paru récemment dans le quotidien néerlandais NRC estime que la glorification de la figure maternelle, notamment par les Lions de l’Atlas et au sein de la société marocaine, serait un indicateur négatif quant à l’émancipation féminine. Qu’en est-il réellement ?
Quelques jours avant la rentrée scolaire, un collectif d’associations musulmanes a adressé au ministre de l’Education français, Vincent Peillon, une lettre ouverte qui l’exhorte à abroger la circulaire interdisant aux femmes voilées d’accompagner leurs enfants en sorties scolaires. Cette demande, qui est resté depuis lettre morte sur son bureau, met à nouveau en exergue les faux-fuyants d’un gouvernement qui commence
Qui a dit que les mariages ne se fêtaient qu début de l'été ? Le mythique Moussem des fiançailles d’Imilchil, qui rassemble de jeunes couples des tribus du Haut Atlas pour se marier, aura lieu cette année du 15 au 17 septembre. Suivi du moussem des fiancailles des Ait Haddidou du 16 au 25 septembre. A près les fiancailles viennent les mariages et au cœur de tout mariage marocain se tient la negafa. De Paris à Casablanca, le
Entre la Norvège, meilleur, et l'Afghanistan, pire endroit au monde pour être mère, le Maroc se situe au bas milieu d'un index rendu public par l'ONG internationale Save the Children. Ce classement est une combinaison de la situation des enfants et celle des femmes en général et montre que le Maroc a du chemin à faire pour remonter la pente. Un exemple: le revenu moyen d’une femme au Maroc représente moins de 25% du total de celui d’un
La société marocaine accepte difficilement les enfants hors mariages. De ce fait les mères célibataires sont vues comme des parias non seulement par leur famille mais aussi dans le reste du quartier. Un centre d'accueil basé à Casablanca créé par Aicha Ech-Chana s'occupe de ces femmes dans le but de les donner un nouveau départ dans leur existence. Khadija Noha, est une pensionnaire de ce centre, voici son histoire.
Najat Azmy, membre du Conseil de la communauté marocaine résident à l’étranger (CCME) et co-organisatrice de l’évènement qui va réunir près de 400 femmes issues de la migration à Marrakech, nous présente la manifestation et elle s’exprime sur la place de la femme.