J’aimerais introduire ce texte par quelques signes d’espérance entraperçus ou constatés sur le terrain et qui sont la preuve que cette question de la retraite et du vieillir de bon nombre d’immigrés loin du pays d’origine ne laisse plus indifférents. Il est à rappeler aussi, sans cesse et sans relâche que c’est à l’articulation du droit et de la solidarité que des réponses doivent être
Le retour en force des discours sur «l’identité nationale», «l’imaginaire national», «le grand récit national», et avant cela le Volkstum , est assez palpable depuis plusieurs décennies. En témoignent les titres des ouvrages parus récemment , ainsi que les débats politiques sur la question, versant à plusieurs occasions dans la xénophobie ou l’islamophobie comme en France, ou en douceur
«L'agriculture bio au Maroc ? Mais tout est bio chez nous !» Faux. Le bio reste loin des priorités des consommateurs et de beaucoup d'agriculteurs marocains. 175 exploitants ont toutefois reconnu le potentiel à l'export des produits bio. Un projet de loi a été lancé pour faciliter ces exportations vers l'Union européenne mais aussi pour réglementer le secteur. Positif pour les exportations marocaines et un premier pas vers une
Rachida Aziz va lancer la confection d’une partie de ses collections de vêtements au Maroc. La jeune femme est une styliste déjà renommée. Elle a créé la griffe Azira à Bruxelles, en 2008. Ancienne assistante sociale, elle est fortement engagée dans une démarche éthique. Elle veut montrer, à travers sa ligne de vêtements, que la véritable liberté ne se situe pas dans le dévoilement du
«Les Mohamed», de Jérôme Ruillier paru cette année adapte sous forme de roman graphique les témoignages, parfois terribles, rarement plaintifs, recueillis par Yamina Benguigui dans son documentaire «Mémoires d’immigrés», diffusé en 1997. L’ouvrage aux dessins poétiques et doux fait revivre l'histoire d’hommes et de femmes venus du Maghreb en France après la seconde guerre mondiale.
Mehdi K-Libre vit à cheval entre le Luxembourg et le Maroc, et passe souvent à Paris. Pourtant, son dernier clip officiel «Fine Sakéne» («Là où j’habite»), sorti vendredi dernier, parle de Meknès, sa ville natale. Et son premier album solo, prévu pour début 2012. «L’Mraya» veut donner «le reflet de la jeunesse marocaine».
Une coquille vide, c’est ce que risque devenir le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) à l’issue des élections, à partir de dimanche 5 juin, pour le renouvellement de ses membres. Après l’UOIF et la FNGMP, la Grande mosquée de Lyon ainsi que 84% des mosquées de Rhône Alpes ont annoncé qu’elles boycotteraient l’élection. Le CFCM postélectoral sera-t-il encore crédible aux yeux
La dermatologie est une spécialité médicale particulière, parfois méconnue au Maroc. Pourtant, elle peut notamment remédier à certains maux provoqués par des usages et comportements propres aux Marocains. Le docteur Leïla Benamar, dermatologue et vénérologue à Casablanca, détaille ces particularités. Interview.
Taza est une ville au passé très riche. Sa position géographique en fit un passage obligé pour joindre l’est à l’ouest du Maroc. Cette «trouée» du Maroc d’antan s’est également illustrée par l’importance que lui ont accordée les différentes dynasties ayant fait valoir leur domination sur le Maroc.
Nabil Bouhajra, Franco-marocain âgé de 32 ans, est producteur cinéma à Paris. Il est né à Moulay Idriss Zerhoun (Meknès) et il a quitté le Maroc à l'âge de 10 mois avec «comme bagage» son «empreinte» et sa «fierté d'être marocain», dit-il.