Dans son rapport annuel sur le Maroc, rendu public il y a quelques jours, Humain Rights Watch a énuméré plusieurs atteintes aux droits humains survenues l’année dernière. L’ONG évoque particulièrement le drame migratoire du 23 juin 2022 et la situation au Sahara.
Dans son rapport annuel sur le Maroc, rendu public ce mercredi, Humain Rights Watch a énuméré plusieurs atteintes aux droits humains survenues l’année dernière. L’ONG cite particulièrement la «répression contre des commentateurs des réseaux sociaux, des artistes et des journalistes».
Le rapport annuel sur la situation des droits de l'Homme au Maroc pour l'année 2019, publié ce mercredi par l'Association marocaine des droits humains, a dressé un tableau sombre de la situation dans le pays au cours de l'année dernière. Pour l’ONG, 2019 a été marquée par la persistance et l'exacerbation des violations des droits humains.
Des militants des droits de l'homme ont critiqué le rapport du Conseil national des droits de l'homme sur les manifestations d'Al Hoceima, le décrivant comme un «rapport des sécuritaires», qui viserait à «justifier les violations des droits de l'homme» contre les détenus du Hirak.
Amnesty International vient de publier son rapport annuel sur la situation des droits de l’Homme au Maroc. L’ONG revient sur les violations des droits ayant le plus marqué l’année 2019, comme le procès de Hajar Raissouni, l’«espionnage» ayant touché des militants ainsi que les accusations d’«outrage» à des représentants de l’autorité publique.
Dans son rapport annuel sur la situation des droits de l’Homme dans le monde, l’ONG Human Rights Watch a recensé plusieurs violations, notamment les atteintes aux libertés individuelles, comme le cas de la journaliste Hajar Raïssouni, ou encore l’obstruction au travail de certaines associations, comme l’AMDH.
En juillet dernier, trente-sept pays ont adressé une lettre aux Nations unies pour soutenir la Chine malgré des soupçons de violation des droits de l’Homme, en l’occurrence sur les Ouïghours. Plusieurs pays musulmans se sont joints aux signataires alors que les accusations de prélèvement d’organes se multiplient.