L’apparition de fameuse circulaire de Mustapha Ramid, ministre de la Justice, en septembre 2012, complétant la loi de 2001 sur la kafala, a provoqué un imbroglio pour les Marocains résidant à l'étranger (MRE). Autour de cette circulaire se sont cristallisés les mécontentements de familles kafiles dont certaines se sont constituées en association ou en groupe d'action. Le GAK ou Groupe Action Kafala Belgique souhaite par cette
Samedi 15 juin, sur la Radio de Bruxelles, Al Manar, le ministre marocain de la Justice a répondu en direct aux questions du Collectif Kafala-Europe. L’émission d'une heure a permis d’établir un échange constructif et confiant entre les différents protagonistes de la société civile et le ministre Mustapha Ramid.
Vers un compromis sur le dossier d’une soixantaine de familles européennes, dont une quarantaine espagnoles, ayant déposé des demandes d’adoption d’enfants marocains avant la fameuse circulaire de Mustapha Ramid N ° 40 S/2.
Dans moins de 48 heures, le monde entier célèbrera la fête du travail. Au Maroc, les syndicats organisent habituellement des manifestations qui s'annoncent très tendues cette année. Une fois de plus, le gouvernement Benkirane est mis en cause.
Le 8 mai 2012, le roi Mohammed VI installe les membres de la Haute instance du dialogue national sur la réforme de la justice. Seules trois semaines nous séparent de son première anniversaire et toujours pas le moindre rapport sur ses nombreuses réunions dans les quatre coins du pays. En revanche, il a fallu à trois ONG internationales quelques jours passés au Maroc pour diagnostiquer le mal de la justice, le localiser et prescrire le remède.
Alors qu’une issue favorable semblait se profiler pour les familles espagnoles en instance d'adoption au Maroc, les choses trainent. Ces familles ayant multiplié les interpellations auprès des autorités chérifiennes, le Cabinet royal interpelle le département de la Justice.
Le Maroc s’est récemment abstenu de voter la résolution de l’ONU contre la peine la peine de mort, alors que celle-ci est encore en vigueur dans le royaume. Le collectif marocain contre la peine de mort monte au créneau et réclame que cette sanction soit rayée des textes de loi marocains. De quoi agacer Mustapha Ramid ?
Le département des affaires pénales et de la grâce au sein du département de Ramid a réalisé un «diagnostic de la justice pénale» au Maroc. Sombre tableau.
Samedi, à Rabat, près de 800 magistrats se sont donnés rendez-vous devant le siège de la Cour de cassation pour réclamer la fin de la corruption dans le système judiciaire marocain, mais aussi «une indépendance réelle et effective du pouvoir judiciaire».
Notre article «Adoption au Maroc : Vers la fin de la kafala pour les MRE et les étrangers ?» (voir article) publié le 31 juillet dernier a suscité beaucoup d’inquiétude chez les MRE qui se demandaient si la nouvelle circulaire du ministre de la Justice sur la kafala allait vraiment les concerner. Une députée PJD rassure les MRE. Cette circulaire ne les concerne pas.