Un million d’espèces animales et végétales risque de disparaître à brève échéance de la surface de la Terre ou du fond des océans. Cette dégradation de la biodiversité à l’échelle mondiale n’épargne pas le Maroc.
La flore du nord du Maroc doit beaucoup au détroit de Gibraltar et aux différents mouvements auxquels a été soumis ce dernier, selon des études menées par un groupe de recherche de l’Université de Séville et révélées ce vendredi. Explications.
193 pays en débattent ces jours-ci à l'occasion de la conférence de l’ONU sur la diversité des espèces. La biodiversité est un enjeu majeur au niveau mondial, mais aussi au Maroc. Au royaume, le sujet est discuté, mais ne figure pas encore en première position des priorités nationales.