Cette jeune femme n’a pas voulu passer par la case salariat lors de son retour au Maroc, après ses études en France. Elle s’est directement lancée dans l’entreprenariat et gère aujourd’hui huit salariés.
A Assa, chef-lieu de la province d’Assa-Zag, j’ai été agréablement surpris par les moyens mis à la disposition de l’hôpital. Mais comment pourrions-nous motiver des médecins, des sages-femmes et des infirmiers pour y travailler avec enthousiasme, sachant qu’ils ne sont pas du tout habitués à un climat difficile ?