La marche de ce dimanche à Rabat de solidarité avec le «Hirak» a permis à Al Adl wal Ihssane de montrer sa force mobilisatrice. Un message à qui de droit.
Les «Mourides» de la zaouïa Boutchichie, au Maroc et ailleurs, pleurent leur Cheikh Hamza. Le religieux a marqué l’histoire de la confrérie. En 1972, il avait hérité d'une zaouïa aux nombre de disciples limité, dotée de faibles moyens. Quarante-quatre ans plus tard, il laisse à son fils Jamaleddine des centaines de milliers de fidèles, voire plus, et une renommée à l’international. Madagh est
Les fréquents déplacements de cadres d’Al Adl Wal Ihsane en Turquie viennent de subir un arrêt brutal. Ankara a refoulé sans management le n°2 d’AWI et interdit un congrès de la Fondation Abdeslam Yassine. Deux messages à la direction de la Jamaâ pour lui signifier que Erdogan ne tolère plus la proximité entre AWI et Fethullah Gülen, devenu son pire ennemi.
Considéré comme la «principale force d’opposition» au Maroc, le mouvement Al Adl Wal Ihsane entamera dans les prochains jours sa quatrième année sans son fondateur, Abdeslam Yassine. Mais comment la Jamaâ s’est elle adaptée à la disparition de sa figure tutélaire ? Deux chercheurs tentent d’apporter des éléments de réponse.
Les imams souffrent de la multiplication et la complexité des lignes rouges. Outre la monarchie, l’islam et le Sahara ; ils viennent de découvrir, à leur corps défendant, que toute critique du festival Mawazine est passible de sanction.
«La Palestine unit les Marocains». Un slogan qui commence à perdre de la voix, preuve en est la marche de Casablanca. Le sujet est au cœur d’un duel à distance que se livrent le PJD et les adeptes de la Jamaâ. Decryptage.