Le parc national de Tazekka est un pur bijou environnemental, mais aussi l’un des plus anciens du royaume.
Le parc national d’Al Hoceima est l’un des rares lieux protégés à disposer d’une partie marine incluse, permettant notamment à des espèces menacées de trouver un refuge sûr où se reproduire.
Le Maroc dispose de dix parcs nationaux, chacun d’entre eux avec des paysages à couper le souffle. Après avoir parlé du parc national de Khnifiss, situé en plein désert, cette semaine, nous allons nous intéresser au parc national de Khénifra, le tout dernier créé au Maroc.
Dans un contexte où l’Afrique a globalement connu l’extinction de 70% de sa faune diversifiée, de 1970 à aujourd’hui, le Maroc n’est pas en reste. La tendance continentale s’illustre bien dans le pays, où les spécialistes insistent sur l’importance de réintroduire ces espèces. Plus que cela, la lutte contre le braconnage et conte la destruction du milieu naturel s’impose.
A première vue, en passant à côté du lac d’Iriqui (sud du Maroc), on pourrait penser qu’il s’agit d’un désert ordinaire. Pourtant et dans une autre vie, le lieu était une véritable savane. En effet, le parc national d’Iriqui est riche de son histoire et fait même voyager à travers la préhistoire.
Un million d’espèces animales et végétales risque de disparaître à brève échéance de la surface de la Terre ou du fond des océans. Cette dégradation de la biodiversité à l’échelle mondiale n’épargne pas le Maroc.