Sur la même longueur d’onde que le PADS, le PSU de Nabila Mounib a pris ses distances avec le soutien officiel marocain aux revendications kabyles. La formation de gauche privilégie l’intégration maghrébine et l’ouverture d’une nouvelle page dans les relations maroco-algériennes.
Le projet de création d'une formation amazighe baptisée «Identité et Innovation», fait face au refus des autorités. Ses initiateurs disent respecter la décision mais n'en démordent pas pour autant. Ils annoncent une nouvelle réunion pour le 19 décembre à Marrakech.
Pour la deuxième fois, le Maroc défend à l’ONU les droits des Kabyles à l’autodétermination. Ce soutien se traduira-t-il par une reconnaissance du gouvernement provisoire kabyle ?
Une fois n’est pas coutume, le Maroc n’est plus sur la défensive face à l'Algérie. Au siège des Nations Unies et en riposte à des déclarations d’un diplomate algérien sur le Sahara, le n°2 de la représentation du Royaume à New York a choisi l’offensive, réclamant le droit du peuple kabyle à l’autodétermination.