Le climat des affaires au Maroc s’est légèrement amélioré par rapport à l’année dernière. C’est ce qui ressort du rapport Doing Business 2014, rendu public ce mardi 29 octobre, par la Banque mondiale. Celle-ci attribue au royaume la 87e position cette année, soit 8 places de mieux qu’en 2012.
C’est un article très vendeur qu’a publié mercredi le journal français les Echos suite à un entretien avec le responsable du bureau parisien de l’Agence marocaine de développement des investissements (Amdi), Mohammed Amrabt. L’homme vante la proximité géographique et fiscale entre le royaume et l’Hexagone, pour attirer le maximum d’investisseurs français. En même temps, de nombreux freins à
Coup dur pour les entrepreneurs espagnols se disant victimes d'escroquerie au Maroc. L'Union européenne estime que l'affaire ne peut-être considérée dans le cadre de l'accord d'association liant Rabat et Bruxelles. Aujourd'hui, la justice seule peut trancher, selon l'ambassade d'Espagne à Rabat.
Le programme FACE, le grand projet de soutien aux investissements des MRE d’Europe au Maroc, s’est achevé, officiellement, aujourd’hui. Il a permis la création de 236 entreprises, mais la question de son financement, s’il était prolongé se pose. L’Union européenne en appelle à la responsabilité du Maroc.
Elle est partout. Ubiquiste, polymorphe, omnipotente. Au Maroc, le cancer de la corruption étend ses métastases sur l’ensemble des secteurs. Après le public, c’est au tour du privé de passer sous les rayons du scanner de l’ONG américaine Transparency International. Diagnostic : ce dernier souffre aussi d’un état de corruption avancé. Le bilan.